Témoignage d’adhérent – Nos premières Bulles

Par Lisa S.

Les premières bulles tant attendues ont enfin eu lieu. Un weekend aux ambiances de colo avec des monos aussi bons vivants que bienveillants et une organisation impeccable. Un weekend plongée qui n’est que le premier d’une longue lignée; avec la volonté farouche de se réinscrire pour décrocher un N2 et connaître l’autonomie !

Merci à tous et à bientôt pour de nouvelles aventures.


Par Mathilde M.

Premiere bulle à Arzon en Bretagne 

on se jette à l’eau, surprise pour une première ce sera une bascule avant, l’eau est fraîche.

On s’enfonce tranquillement dans l’eau, tous les sens se mettent en éveil… les nuances de bleu, la visibilité, les courants,  le son décuplé, les bulles, . 

 Un moment magique et inoubliable, on tente de se stabiliser.

Le  sensation de planer ou voler m’envahie

l’espace d’un instant le temps s’arrête, tous est si paisible, 

Avec calme et lenteur nous partons explorer la richesse du monde sous marin, étonnée de voir à quel point la faune et la flore on su s’acclimater à leur milieux . Le moindre recoins et occupé. 

Le temps s’écoule il semble suspendu sous l’eau pourtant il faut déjà remonter sans oublier de palmer ! 

Une seule envie c’est d’y retourner !


Par Benjamin R.

J’avais, avant de me mettre à l’eau pour ma première plongée du vendredi matin, une forme d’appréhension, sans doute liée aux faits que je n’avais pas plongé depuis plusieurs mois et que je n’avais jamais plongé en mer, même pour un baptême. De ce fait, j’avais plein de questions qui me tournaient dans la tête. Du coup, je me suis moins concentré sur l’observation de mon environnement que sur la manière dont j’ai réagi à ce « nouvel » environnement pour mois : la température de l’eau, le courant (assez fort ce matin là), la profondeur (je n’avais pas plongé en fosse cet hiver), etc. Comme il y avait du courant, je me suis aussi beaucoup concentré sur le fait de ne pas perdre de vue mon binôme (Sylvie). Au final, j’ai eu l’impression d’une plongée très intense, où j’ai laissé pas mal d’énergie et où, finalement, j’ai peu profité de ce que j’observais. J’ai aussi eu l’impression d’être complètement désorienté : sur terre, je suis plutôt du genre à savoir où je suis et où je vais à tout moment, mais là, j’étais complètement perdu.
L’avantage, c’est qu’en remontant, j’étais très soulagé et détendu : je n’avais pas beaucoup de doute, mais un peu comme quand tu remontes à la surface après avoir sauté d’un rocher assez haut en te demandant si tu peux le faire, je venais de me rendre compte que j’étais parfaitement capable de le faire et qu’au fond, ça n’était techniquement pas très différent de ce que nous avions fait en piscine.
Mes deux autres plongées ont été beaucoup plus cools et j’ai beaucoup plus profité de ce que je voyais. C’est notamment le cas de la plongée sur l’épave, critiquée du fait que nous y étions très nombreux et que la visibilité était mauvaise. J’ai eu l’impression d’être comme un gamin devant un sapin de Noël : nous avons nagé très proches de la coque de l’épave et heureusement que Stephane m’indiquait où et quoi regarder, parce que je savais pas où donner de la tête tant il y avait de détails à observer. Et à l’inverse de la première plongée, j’ai ete moins attentif à ma position et mes mouvements (Sylvie, qui nous suivait, à dû traverser qq nuages de sable que j’avais soulevé …).
La 3e plongée, avec Piero, Steeve et Aurélie, a été la plus complète: j’ai a la fois pu me concentrer sur ma position et mes mouvements (en essayant notamment d’être plus à l’horizontale. J’ai aussi mieux réussi à me stabiliser) et bien observer la faune (sans voir le homard 😔) et la flore.
Au total, une véritable découverte pour moi, avec l’envie de continuer à progresser !

Laisser un commentaire